Un « potimarron », dites-vous ?
Bah oui !
Légume d’hiver par excellence, le potimarron se cuisine de différentes façons : soupe, gratin, poêlé…
Il se conserve également très bien, et peut être congelé (de préférence après avoir été blanchi) pour pouvoir en déguster toute l’année.
Si la plupart des courges proviennent d’Amérique, le potimarron a lui été introduit tout d’abord au Japon avant de gagner l’Europe.
Les origines asiatiques expliquent une deuxième dénomination possible de ce légume : « Potiron doux d’Hokaïdo ».
Il est à présent devenu une cucurbitacée commune sous nos latitudes.
D’un poids moindre que le potiron, il peut cependant peser jusqu’à trois kilo pour les plus beaux spécimens.
Nos astuces pour cuisiner le potimarron…
Pour le cuisiner, pas besoin de l’éplucher !
Cela permet d’éviter de se blesser et de gagner un peu de temps de préparation.
En effet la peau, une fois cuite n’est pas dure et se mange très facilement.
Sa chaire jaune, très riche en vitamines, apporte tous les nutriments utiles en période hivernale pour booster le système immunitaire de l’organisme.
Oligoéléments et antioxydants sont au rendez-vous.
Riche en fibre et en eau tout en étant peu calorique il permet d’obtenir rapidement le sentiment de satiété.
Un légume parfait on vous dit !
Il se conserve très bien au frais et à l’abri de la lumière.
Et ce, jusqu’au printemps, période où les étals des maraîchers sont le moins fournis.
Cette conservation aura tendance à augmenter la teneur en vitamines & sucre de la cucurbitacée mais également à faire durcir la peau.
Pour ceux qui souhaitent la retirer plus facilement, il est possible de passer le potiron à l’eau bouillante quelques minutes.
Une alternative est de le couper en quatre, retirer les graines puis de le cuire au four avec la peau, la chair cuite sera ensuite prélevée à l’aide d’une cuillère.
Par son goût sucré il peut aussi être cuisiné pour des desserts (gâteaux, flans…).
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